En tant que rédactrice web SEO, je rédige des textes optimisés pour les moteurs de recherche : pages fixes de site, articles de blog, etc. Parfois, j’améliore des textes déjà existants (reformulation, correction, optimisation). J’effectue aussi du conseil en stratégie d’optimisation et des audits SEO sur la partie rédactionnelle des sites. Cela consiste à étudier leur positionnement actuel et à identifier les axes d’amélioration pour augmenter leur trafic organique. J’élabore des plannings éditoriaux pour des blogueurs professionnels ou des entreprises. Et il m’arrive aussi de faire de la retranscription audio ou vidéo. Mon but : proposer des textes de qualité (sur mesure et centrés sur l’expérience utilisateur) et obtenir pour le client une audience qualifiée. Parallèlement à cela, j’anime des ateliers d’écriture et de lecture à voix haute en Ariège.

En rédaction web, de plus en plus d’outils se développent pour aider le rédacteur dans son travail. On voit même apparaître des textes entièrement générés par une intelligence artificielle. Mais les algorithmes de Google ne sont pas dupes. Et une déclaration récente de John Mueller (employé de Google) à propos des générateurs de contenus nous rend optimistes quant à l’avenir du métier de rédacteur web : « la plupart des sites ont des difficultés à créer du contenu de meilleure qualité, ils n’ont pas besoin d’aide pour créer du contenu de mauvaise qualité ». L’écart va sans aucun doute se creuser entre les pratiques. Il y aura les sites qui auront recours à ce type de contenus avec pour objectif de publier toujours plus et plus vite. Et il y aura ceux qui soutiendront l’idée d’apporter une véritable valeur ajoutée à leurs contenus tout en s’adressant précisément et de manière naturelle à leur cible. Personnellement, j’écris pour un web éthique et vivant, c’est-à-dire centré sur l’humain. Et tout mon travail technique d’optimisation doit être invisible pour les internautes non experts.

En 2010, avec mon conjoint, nous cherchions à sortir de Toulouse pour trouver un coin de verdure et y faire pousser notre fille. C’était pas tellement le projet de nous éloigner à ce point de la métropole, mais on a eu un coup de cœur pour l’Ariège. Depuis, on a pris racine et je ne conçois plus du tout la vie sans les montagnes (c’est-à-dire dans le nord 😉).

J’apprécie beaucoup l’idée de pouvoir partager autour de nos métiers de la communication, car ils sont complémentaires et nous pouvons avoir des clients similaires. Le fait de se trouver sur un même territoire et de pouvoir échanger est une très bonne chose. Tisser des liens en local, c’est très important pour moi. Hé oui, on peut travailler sur le web et apprécier les échanges humains !